« Je n'ai jamais fait de chantage » : l'influenceuse contre-attaque dans la saga JL Pâtisserie

C'est ce qui s'est produit récemment entre JL Pâtisserie, une entreprise locale, et une influenceuse connue sous le nom de Glamorama. Après qu'une vidéo TikTok de la pâtisserie ait dénoncé un comportement jugé inapproprié, l'influenceuse a décidé de répondre publiquement.

Glamorama a expliqué qu'elle n'a jamais demandé une bonne critique en échange de produits gratuits. Elle affirme qu'elle avait l'intention de partager un avis honnête, que l'expérience soit bonne ou non. Selon elle, si sa visite à la pâtisserie avait été vraiment mauvaise, elle n'aurait même pas publié de critique, par respect pour l'établissement.

Avant de publier sa vidéo, Glamorama dit avoir contacté la propriétaire de JL Pâtisserie pour lui faire part de ses impressions. Elle affirme avoir voulu lui laisser une chance de réagir, un geste qu'elle ne fait habituellement jamais.

Si elle l'a fait cette fois-ci, c'est parce qu'il s'agit d'une entreprise dirigée par une femme, et qu'elle voulait agir avec délicatesse. Mais selon elle, la réponse de la propriétaire a été très brève, un simple « merci pour le retour », sans poser de questions sur ce qui n'allait pas.

L'influenceuse a aussi tenu à défendre son intégrité professionnelle. Elle assure qu'elle a déjà refusé d'être payée pour publier de bonnes critiques sur d'autres établissements.

Elle souligne également qu'elle ne publie jamais de critiques négatives quand elle a reçu le repas gratuitement, sauf si elle peut dire quelque chose de positif. De plus, elle insiste sur son comportement respectueux, elle paie toujours un pourboire de 20 %.

Pour terminer sa réponse, Glamorama a rappelé qu'elle avait visité JL Pâtisserieavec l'intention de parler positivement de son expérience.

D'ailleurs, dans sa critique, elle a mentionné qu'elle avait adoré la pâtisserie à la citrouille, même si d'autres produits lui ont semblé trop « riches et sucrés » à son goût. Elle assure que son avis reflète simplement ses préférences personnelles, et non une volonté de nuire.